« Soft skills » ou lorsque l’intelligence émotionnelle prend le dessus
6/19/20231 min read
Être un professionnel reconnu dans ses compétences techniques ne suffit plus. Les entreprises sont à la recherche de qualités humaines.
L’entreprise ne se nourrit pas uniquement de compétences techniques pour fonctionner. Elle doit aussi parvenir à faire travailler ensemble des femmes et hommes aux parcours diversifiés. L’outil pour mettre de l’huile dans les rouages répond depuis quelques années à l’appellation « soft skills », littéralement les « compétences douces ». Une traduction plus savante est « compétences comportementales, transversales et humaines ». De manière plus simple, il s’agit de développer utilement ses compétences relationnelles et émotionnelles. Mais quelles sont-elles ? Pour tenter de les classer, disons que certaines relèvent d’un travail sur soi – comme la confiance, autonomie, la créativité, la curiosité, la gestion du stress et du temps – alors que les secondes s’adressent au collectif – empathie, communication, coopération, relation aux autres. Ces listes ne sont bien sûr par exhaustives.
Si chacun avance avec sa personnalité, ses préférences, ses forces et ses faiblesses, il faut garder à l’esprit que ces « compétences » n’ont rien d’inné. Il est possible de s’y former, de les travailler. Bien au-delà du code de bonne conduite et du savoir-vivre en entreprise, ces « soft skills » sont très recherchés par les recruteurs. C’est pourquoi nous attachons un soin particulier à leur enseignement au sein de Neo Business School, le département GMPE du CFA Ducretet.
Neo Business School
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